Nos Plongées

Quelques informations sur les sites de plongée


La mona

Caractéristiques :

  • Profondeur : De 34 m
  • Niveau minimum : Niveau 2 – PE 4O
  • Type de site : Épave
  • Distance : 17 minutes

L‘épave repose droite sur sa quille. Elle est en très bon état et c’est son seul intérêt : on fera le tour du navire en 15 min en terminant par le pont où on aura un aperçu du compartiment moteur par les panneaux ouverts. La timonerie est encore en place sur l’épave. Elle est un beau sujet pour les photographes.

Histoire

Ce remorqueur portuaire, de 15 mètres de long, fut construit en 1949 par la Marine Nationale. Il servit pendant de nombreuses années dans le port du Brusc. Puis, il fut désarmé et laissé à l’abandon en rade du Brusc avant de couler par 6 mètres de fond en 1984. Il fut renfloué pour être remorqué vers Toulon mais sombra avant d’y arriver par 34 mètres de fond.


la mourée

Caractéristiques

  • Profondeur : De 24 m à 38 m
  • Niveau minimum : Niveau 2 – PE 40
  • Type de site : Tombant
  • Distance : 18 minutes

Informations

Le site se présente sous forme de marche et s’étend sur une centaine de mètres. Le plus haut de la marche commence à 24 m pour terminer par le plateau à 38 m.

Entre les deux profondeurs, on trouvera sur le tombant des coraux, des gorgones et des éponges au milieu d’une faune variée.


La Roche à l’Ancre

Caractéristiques

  • Profondeur : De 25 m à 42 m
  • Niveau minimum : Niveau 2 – PE 40
  • Type de site : Tombant
  • Distance : 8 minutes

Informations

Une ancre , d’une hauteur de plus d’un mètre, est à voir, posée au pied de la roche.

Riche en faune, vous trouverez de nombreuses mostelles dans une faille et une faune fixée : gorgones, etc…


Le sec de saint-Elme

Caractéristiques

  • Profondeur : De 6 m à 18 m
  • Niveau minimum : Niveau 1
  • Type de site : Sec
  • Distance : 4 minutes

Informations

Roches plates et éboulis de roches. Riche en faune en tout genre ( sars, castagnoles….), mais aussi, dans les anfractuosités : murènes, congres…


Les Deux Frères

Caractéristiques

  • Profondeur : De 0 m à 35 m
  • Niveau minimum : Tous niveaux
  • Type de site : Roches en partie émergées, tombant
  • Distance : 4 minutes

Points positif :

  • Possibilité de plonger quelque soit le vent
  • En cas de fort courant, possibilité de faire une plongée dérivante.

Informations

De nombreux plateaux à diverses profondeurs (6m, 12m, 20m et + ). Évolution progressive.

  • Idéal pour les 1ères bulles en mer et pour une reprise de l’activité.
  • Orientation facile
  • Relief changeant : éboulis de roches, tombant, plateau
  • Faune riche car de nombreuses failles et trous : murènes, congres, mais aussi : poissons en tout genre (chapons, sars, mérou…); faunes fixées : corail, gorgones, éponges….
  • Possibilité de voir du « gros » : dentis, barracudas….
  • Idéal pour la plongée bio (à voir également les diverses variétés de nudibranches…)

Le sec de Sicié ou sec du Pêcheur

Caractéristiques

  • Profondeur : De 8 m à 36 m
  • Niveau minimum : Niveau 1
  • Type de site : Sec
  • Distance : 7 minutes

Informations

Beaucoup de failles, petits canyons au pied de la roche.
Très riche en faune et faune fixée.

Possibilité de voir du « gros » en saison : 
dentis, barracudas…. Idéal pour la plongée bio (à voir également les diverses variétés de nudibranches…)
Le site est très étendu.


La vallée aux Gorgones

Caractéristiques

  • Profondeur : De 19 m à 38 m
  • Niveau minimum : Niveau 2 – PE 40
  • Type de site : Tombant
  • Distance : 7 minutes

Informations

Comme son nom l’indique, le site est une vallée avec un tombant principal, concrétionné de gorgones. De nombreuses failles y logent murènes, congres et langoustes… On peut y voir des mérous, barracudas à la belle saison.


Le sec de l’Armoire

Caractéristiques

  • Profondeur : De 19 m à 50 m
  • Niveau minimum : Niveau 2 – PE 40
  • Type de site : Tombant
  • Distance : 25 minutes

Informations

La plongée se fait le long d’une roche présentant 2 sommets, l’un étant à 19 m, l’autre à 24 m. Les sommets sont arides, le plus beau de la plongée (gorgones, failles peuplées de murènes, congres…) se voit, donc, dans la zone des 26 m à 45 m.


L’Ariane

Caractéristiques

  • Profondeur : De 18 m à 33 m
  • Niveau minimum : Niveau 2 – PE 40
  • Type de site : Epave, sous-marin
  • Distance : 13 minutes

Information

Ce site n’est malheureusement pas accessible aux plongeurs loisirs car il se situe dans une zone militaire.


L’Arche

Caractéristiques

  • Profondeur : De 23 m à 43 m
  • Niveau minimum : Niveau 2 – PE 40
  • Type de site : Tombant en forme de croissant
  • Distance : 6 minutes

Informations

Forêt de gorgones.

Grosse faille à 30 m, au milieu des gorgones, traversant de part en part la roche.

Très riche en faune surtout en castagnole et barbiers ( idéal pour la photo d’ambiance), possibilité de voir des langoustes, des murènes et des congres dans les anfractuosités.


La Corée

Caractéristiques

  • Profondeur : De 25 m à 48 m
  • Niveau minimum : Niveau 2 – PE 40
  • Type de site : Patate
  • Distance : 7 minutes

Informations

Faunes fixées riches : corail, gorgones…
Beaucoup d’anfractuosités pouvant loger langoustes, murènes…

Faunes diverses : chapons, oursins melon, …


L’Arroyo

Caractéristiques

  • Profondeur : De 27 m à 38 m
  • Niveau minimum : Niveau 2 – PE 40
  • Type de site : Épave
  • Distance : 5 minutes

Le navire est sur le sable, relativement droit sur sa quille, brisé en deux parties. La partie arrière comprenant encore l’hélice est à 37 mètres de fond. La paroi tribord de l’épave ainsi que l’hélice sont recouvertes de gorgones. Quant à l’étrave, elle repose sur son flanc bâbord, cassée de l’autre côté de la roche.

On trouvera dans les différentes vannes, tuyauteries, des congres, murènes. Les mérous peuvent être au rendez-vous survolant l’épave ou sortant de la cale du navire.

On regardera, sans y pénétrer, dans l’énorme ouverture de la cale : ne pas rentrer dans l’épave : cela ne présente aucun intérêt et l‘on prend le risque d‘y rester coincer. A voir également les gorgones qui peuplent le pont, une partie des superstructures restantes.

Ajoutez à tout ceci une multitude d’oblades, de castagnoles, d’anthias…, sans parler des dentis, barracudas, loups présents à la belle saison.

Point positif : l’Arroyo n’est pas dangereuse à explorer et peut être pour un tout nouveau niveau 2 ou PE 40, la première immersion sur une épave dans l’espace lointain. Plusieurs plongées sont nécessaires pour bien la connaître. La veine rocheuse sur laquelle est cassée l’épave mérite d’être explorée. Dans les anfractuosités, on peut y trouver langoustes, congres, murènes. Les gorgones tapissent également la roche.

Avantage : Autre site : les « jardins de l’Arroyo », arrêtes rocheuses présentant des tombants de gorgones et recelant une faune variée dont les mérous et pour les périodes les plus chaudes, bancs de dentis et de barracudas.

Histoire

L’Arroyo fut une citerne d’escadre, mise en chantier et lancée en 1921, d’une longueur de 55 m de long. Sa carrière militaire ne fut pas glorieuse.

En 1922, l’Arroyo était en Indochine. Le 31 mai 1951, la citerne d’escadre est désarmée.
L’Arroyo a été coulé intentionnellement le 18 Août 1953 par le GERS (Groupe d’Études et de Recherches sous-Marines) de la Marine Nationale, afin de servir à l’entraînement des nageurs.


L’Arroyo aurait dû reposer sur une plage de sable. Une légère déviation le fit s’encastrer sur une barre rocheuse.


Le Dornier 24

Caractéristiques

  • Profondeur : De 41 m à 43 m
  • Niveau minimum : Niveau 3
  • Type de site : Épave
  • Distance : 6 minutes

L’épave repose sur un fond sablonneux. Elle est cassée en 3 parties, s’étendant sur plus de 200 m de long, le poste de pilotage, un petit fragment d’aile et un moteur étant à des profondeurs supérieures ( jusqu’à 46 m ).
La plongée se fera essentiellement sur la partie la plus importante qui comprend les 2 moteurs restants, le fuselage de l’avion et la grande aile qui faisait 27 m à l’origine.
Dessous, des câbles témoignent d’une tentative de renflouement de la cellule.
On y trouve de nombreux congres, murènes, rougets en rang d’oignons sur l’aile voire mostelles, homards, mérous pour les plus chanceux.

Point positif : 
Épave facile, sans courant

Histoire

Il s’agit d’un hydravion, tri-moteur, de patrouille maritime et de secours en mer. Il connut une carrière opérationnelle très intense durant la seconde guerre mondiale. Ces hydravions restèrent en service jusqu’au milieu des années 1970, basés à Pollensa sur l’île de Majorque. Certains furent utilisés pour le transport des touristes sur les îles Baléares. Entre 1942 et août 1944, la SNCA du nord réalisa dans ses ateliers de Sartrouville, pour le compte de la Luftwaffe, 48 exemplaires du DO 24T, et 40 d’entre eux furent pris en compte à la Libération par l’Aéronavale française, qui se trouvait en manque d’appareils. Le crash eut lieu le 20 décembre 1945, le Dornier ayant été plaqué par le mistral qui soufflait avec violence ce jour là. Seul des 6 membres de l’équipage, un jeune matelot, qui se trouvait à l’arrière de l’appareil, eut la vie sauve. L’épave ne fut retrouvée que 2 mois plus tard, par dragage.


Le Tromblon

Caractéristiques

  • Profondeur : De 23 m à 27 m
  • Niveau minimum : Niveau 2 – PE 40
  • Type de site : Épave
  • Distance : 7 minutes

Le tromblon repose sur un fond sablonneux, droit sur sa quille. Étant donné son vieil âge, les structures se sont bien affaissées. L’avant est extrêmement délabré mais présente encore la forme de chaloupe. 
On pourra apercevoir les deux chaudières encore entières, côte à côte.
Par contre, le canon fait partie des éléments qui ont été débarqués avant le tir.
La richesse de cette épave réside dans la découverte d’une multitude de congres de toutes tailles, murènes, logeant dans la tuyauterie. Poulpes, galathées, chapons…viennent compléter le tableau marin.

Histoire

Ce navire était une chaloupe-canonnière à hélice, de 23,67 mètres de long. Il fut mis à l’eau le 20 janvier 1975 à Toulon. Il était armé de deux canons, un à l’avant dans l’axe du bateau, l’autre en position latérale. Il fallait orienter le navire tout entier vers la cible car il n’y avait pas de pointage en direction. Il eut peu de mission, vu ses piètres performances. Il participa à la campagne de Tunisie en 1881 et sa dernière campagne consista à remorquer des chalands de troupe de débarquement et à les protéger. De retour à Toulon, on le mit sur cale. Il fut mis en vente avant d’être proposé comme cible. Sa « mise à mort » fut programmée le 21 Octobre 1898. Avant le tir, on avait débarqué sa machine et tout ce qui pouvait être utilisé.

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